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Le concept de « low code » et de « no code » a révolutionné le monde du développement logiciel, offrant des approches innovantes pour simplifier la création d’applications sans nécessiter des compétences de programmation avancées. Si ces termes sont devenus courants ces dernières années, il est important de noter qu’ils ne sont pas apparus du jour au lendemain, mais résultent d’une évolution constante des technologies de développement logiciel. L’ensemble décharge les employés des tâches routinières et chronophages pour qu’ils puissent se concentrer sur les tâches critiques (intégrations complexes, algorithmes, etc.). En somme, ce qui n’était autrefois qu’un simple outil permettant aux utilisateurs de créer des applications internes pratiques et à faible impact, est aujourd’hui déployé de manière stratégique par les équipes IT d’entreprises afin de gagner en capacité, rapidité et agilité dans le cadre de leurs activités.L’ensemble décharge les employés des tâches routinières et chronophages pour qu’ils puissent se concentrer sur les tâches critiques (intégrations complexes, algorithmes, etc.). En somme, ce qui n’était autrefois qu’un simple outil permettant aux utilisateurs de créer des applications internes pratiques et à faible impact, est aujourd’hui déployé de manière stratégique par les équipes IT d’entreprises afin de gagner en capacité, rapidité et agilité dans le cadre de leurs activités.
Cette approche dégage les employés des tâches récurrentes et chronophages, leur permettant de se concentrer sur des missions à plus forte valeur ajoutée. Cela permet aux équipes informatiques des entreprises d’accroître leurs capacités, leur vitesse et leur agilité opérationnelle.
Selon une estimation de Statista, ce marché devrait atteindre 65 milliards de dollar en 2027
L’Émergence du « Low Code »
Le « low code » est apparu pour la première fois dans les années 2000, mais il a véritablement gagné en notoriété au cours de la décennie des années 2010. Cette approche permet de créer des applications en utilisant des interfaces visuelles et des composants préfabriqués. Elle repose sur un système de glisser-déposer, réduisant ainsi la nécessité de coder manuellement chaque élément d’une nouvelle application.
Les avantages du « low code » sont évidents. Il permet aux équipes de développement de gagner du temps en évitant des tâches fastidieuses de codage, tout en offrant une flexibilité considérable pour personnaliser les applications en fonction des besoins spécifiques. Cette approche a considérablement réduit les barrières à l’entrée pour le développement d’applications, ouvrant ainsi la voie à de nouvelles innovations.
L’Avènement du « No Code »
Le « no code » est une extension naturelle du « low code » et est apparu ultérieurement. Son objectif principal est de rendre la création et l’utilisation d’applications accessibles aux utilisateurs dépourvus de compétences techniques avancées, sans aucune expérience en programmation. Pour atteindre cet objectif, le « no code » met à disposition des outils simplifiés qui permettent de concevoir des applications sans avoir à rédiger des centaines, voire des milliers de lignes de code.
L’adoption du « no code » a contribué à démocratiser le développement d’applications. Elle permet à un plus large éventail d’utilisateurs, y compris ceux en dehors du domaine de la technologie, de créer des applications personnalisées pour répondre à des besoins spécifiques. Cette approche a permis de libérer le potentiel créatif de nombreuses personnes, créant ainsi de nouvelles opportunités pour l’innovation.
Selon les données de Gartner, le marché mondial des solutions « low code » et « no code » a atteint 13,8 milliards de dollars en 2021. Cela représente une augmentation impressionnante de 23 % par rapport à l’année précédente. Cette croissance rapide souligne l’importance croissante de ces approches dans le développement d’applications.
Les Critères Clés des Approches « Low Code » et « No Code »
Plusieurs critères clés définissent la pertinence et la fonctionnalité des approches « low code » et « no code ». Voici un aperçu de ces critères :
- Interface de glisser-déposer intuitive : Les utilisateurs peuvent organiser les composants d’une page en les faisant glisser et en les déposant, facilitant ainsi la personnalisation des interfaces utilisateur.
- Navigation intuitive et expérience améliorée : Les outils « low code » et « no code » guident les utilisateurs tout au long de leur parcours, en proposant des fonctionnalités claires et pertinentes.
- Intégration des sources de données : Ces approches simplifient l’intégration transparente des sources de données, éliminant la nécessité de basculer entre différentes applications.
- Sécurité : Les outils offrent des fonctionnalités de sécurité robustes, telles que le chiffrement des données, garantissant la confidentialité et l’intégrité des informations.
- Collaboration en temps réel : Les approches « low code » et « no code » favorisent la collaboration en temps réel, avec des fonctionnalités novatrices telles qu’un chat intégré directement dans l’outil.
En résumé, les approches « low code » et « no code » ont radicalement transformé la manière dont les applications sont développées et utilisées. Elles offrent simplicité, accessibilité et efficacité, ouvrant ainsi la porte à une nouvelle ère d’innovation dans le domaine du développement logiciel.
